« Galianör » : différence entre les versions

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=== Magie ===
=== Magie ===


La magie des nains est basée sur l'utilisation du pouvoir des Titans. Le savoir magique, longtemps perdu par les nains commença à être redécouvert lors de la redécouverte de la hanche par les premiers nains. Elle est basée sur l'utilisation des runes et des cristaux, extrait des mines. Elle tire sa puissance du lien entre les Titans et les nains. Plus le mage est proche d'une source de pouvoir, plus sa magie est puissante. Il y a deux grands ordres de mages dans la société galéor. Les prêtres plutôt orientés vers la prière aux titans et le domaine médical et les maîtres des runes plutôt orientés vers la magie "pure", les sortilèges offensifs. Les deux ordres maîtrisent a la perfection la science des cristaux, tous deux capables de lire et d'écrire dans le cristal.
La magie qui imprègne l'essence des nains trouve sa source dans l'essence des Titans. Ce savoir magique, longtemps égaré dans le labyrinthe des siècles, a commencé à refaire surface lors de la redécouverte de la Hanche par les tout premiers nains. Elle prend racine dans l'art de manier les runes et les cristaux, extraits des profondeurs des mines. Sa puissance tire son souffle du lien sacré qui unit les Titans aux nains. À mesure que le mage s'approche d'une source de ce pouvoir, sa magie gagne en puissance. Dans la société de Galianör, deux ordres majeurs de mages se distinguent. Les prêtres, inclinés vers la prière aux Titans et le domaine médical, et les maîtres des runes, plus orientés vers la magie "pure" et les sortilèges offensifs. Tous deux maîtrisent à la perfection l'art des cristaux, capable de lire et d'écrire dans ces précieux joyaux.
De manière habituelle, la magie naine a pour base l’utilisation des runes et de cercles gravés sur divers matériaux. Leurs agencements, leurs sens d’utilisation, ainsi que leurs positions sur les cercles définissent la magie qui résulte de leurs utilisations. Plus les runes sont complexes, plus l’utilisateur est expérimenté et puissant et, généralement, plus le sortilège l’est aussi. Certains maîtres utilisent des pierres polies comme supports, d’autres des cristaux, d’autres encore s’inscrivent leurs sortilèges sur les mains ou sur des gants et d’autres préfèrent graver leurs runes sur des objets. Les fragments comportaient des runes semblant faire partie d’un grand sortilège de défense.
 
Dans les méandres habituels de la magie naine, on trouve l'empreinte des runes et des cercles gravés sur des matériaux variés. Leur assemblage, leur orientation et leur positionnement sur les cercles dictent la nature de la magie qui émane de leur conjonction. Plus ces runes sont complexes, plus l'usage en est habile et puissant, et de manière générale, plus le sortilège qu'elles forgent est prodigieux. Certains maîtres élèvent des pierres polies comme autels, d'autres, des cristaux, tandis que certains inscrivent leurs incantations sur leurs mains ou des gants, et d'autres encore préfèrent graver les runes sur des objets.  
 
Parmi les fragments découverts lors de l'excavation de la Hanche, des runes semblaient tisser la trame d'une formidable incantation protectrice. Elles furent soigneusement réemployées pour tracer un nouveau cercle runique au sein de la vaste salle, offrant ainsi un lieu de recueillement pour les nains auprès de la Hanche.


=== Langues ===
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